LSA CONSEILS
Nous avons publié ce site en 2014 car Isabelle Morel nous a fait travailler pendant 6 semaines entre janvier et février 2014 sans payer les factures qu’elle nous devait. Comment s’y est-elle prise ? Elle a prétendu au tribunal que LSA CONSEILS n’existait pas, afin d’être sous la protection de La loi no 2014-344 du 17 mars 2014 relative à la consommation. C’est en fait comme si l’agence-web avait traité avec un particulier et non une entreprise. Or, c’est bien une carte de visite au nom de LSA CONSEILS qu’elle nous a remise au moment où elle nous a demandé d’effectuer ce travail. Après enquête, nous avons découvert – trop tard, hélas – que LSA CONSEILS était une entité juridiquement floue à l’époque où nous avions publié ce site (2014).
Deux ans plus tard, alors que le procès touchait à sa fin, Isabelle MOREL a créé une SASU à ce nom et ce, malgré qu’une autre personne avait déjà déposé la marque LSA CONSEIL à l’INPI pour une activité similaire (voir captures d’écran ci-dessous), qu’une autre personne encore avait déjà créé une société à ce même nom en région parisienne et qu’un cabinet de consultants exerce sous le nom de LSA Conseil depuis plus de 20 ans.
Pour autant, il n’existait aucune entité juridique au nom d’Isabelle MOREL ou de Jean-Christophe MOREL entre 2013 et 2016, alors qu’Isabelle MOREL exerçait déjà son activité. Isabelle MOREL n’est pas non plus propriétaire de la marque LSA CONSEIL, malgré le fait qu’elle applique indûment et illégalement le sigle « copyright » en regard de cette marque sur les documents qu’elle a fait réaliser pour promouvoir ses services. Bien sûr, elle a ajouté un S à la fin de LSA CONSEILS mais cela ne fait pas de différence car, pour une marque, la prononciation est prise en compte. Pour vous donner un exemple, la marque aéroweb a été supprimée de certaines classes car elle pouvait induire une confusion avec une marque préexistante : airoweb.
Tout cela, nous lui avions dit, nous l’avions mise en garde contre les risques qu’elle encourrait. C’est pour le moins surprenant qu’elle s’entête à prendre de tels risques alors qu’elle propose justement à ses potentiels clients des services dans le domaine de la gestion des risques professionnels, vous ne trouvez pas ?
La page de présentation d’Isabelle Morel – LSA CONSEILS
La carte de visite d’Isabelle Morel – LSA CONSEILS
La date de dépôt du nom de domaine LSA CONSEILS
La création de la société LSA CONSEIL par Laurence Safont en 2013
La création de la société LSA CONSEILS en 2016 par Isabelle Morel
La marque LSA CONSEIL
Procès contre Isabelle Morel – LSA CONSEILS
Contrairement à ce que prétend Isabelle Morel, le jugement rendu le 26 octobre 2016 stipule clairement que nous n’avons pas été malhonnêtes :
Isabelle MOREL a été déboutée de ses demandes de dommages et intérêts et des accusations qu’elle portait à notre encontre. Nous avons effectué des prestations pour son compte pendant 6 semaines, des prestations qu’elle a validées à plusieurs reprises lors de nombreux échanges par email ou par téléphone. Notre seule faute a été de lui faire confiance. Nous aurions dû exiger d’elle qu’elle nous renvoie notre devis signé. Nous le lui avions demandé, bien sûr, mais nous n’avons pas insisté car c’était l’amie d’une amie de notre directrice, nous étions en confiance.
Isabelle MOREL ment constamment !
Isabelle MOREL raconte à qui veut bien la croire que nous avons tenté de l’escroquer, ce qui est un comble car c’est nous qui avons travaillé pendant plusieurs semaines et qui n’avons pas été payés. D’ailleurs, le tribunal lui a donné tort sur ce point en reconnaissant qu’il n’y avait pas eu de manœuvres malhonnêtes de notre part. Elle prétend que notre société aurait été condamnée à lui verser des dommages et intérêts : c’est faux. Isabelle MOREL a été déboutée de ses demandes de dommages et intérêts car ses accusations étaient infondées. De notre côté, nous avons été déboutés de nos demandes car nous n’avions pas de devis signé de la main d’Isabelle MOREL. Notre seule faute a été de lui faire confiance et de nous contenter d’un accord verbal, comme nous le faisions souvent avec nos clients, devenus des amis pour certains.
Enfin, Isabelle MOREL s’est présentée devant le tribunal comme un particulier n’ayant pas d’activité professionnelle, alors que c’était faux. Elle savait qu’en se faisant passer pour un particulier, elle bénéficierait d’une juridiction particulièrement protectrice. Certes, elle n’était pas enregistrée au Registre du Commerce et des Sociétés, mais elle avait signé un CAPE auprès de la société de portage salarial Auxime et exerçait son activité de consultante au sein du cabinet Baud depuis mars 2013. Elle a ensuite créé une SASU portant le nom de LSA CONSEILS en janvier 2016, alors même qu’elle soutenait ne pas avoir de statut professionnel devant le tribunal.
Isabelle MOREL tente tout et n’importe quoi pour faire disparaître la vérité à son sujet
Non contente de nous avoir fait travailler sans nous payer, Isabelle Morel tente tout et n’importe quoi pour supprimer ce site : menaces, chantage, tentative d’escroquerie de la part de son avocate en avril 2018 pour essayer de récupérer les noms de domaine isabellemorel.fr et isabelle-morel.fr, procès pour diffamation (qu’elle a perdu en février 2019), demande de suppression auprès de Google au titre du droit à l’oubli en avril 2019, etc. Quelle est la prochaine étape ? La séquestration, un assassinat ? Jusqu’où ira-t-elle dans son délire de toute puissance ?
Nous avons constaté qu’elle avait effectué une demande de suppression auprès de Google car le même jour, plusieurs pages web compromettantes qui s’affichaient sur la 1ère page des résultats de recherche lorsqu’on tapait « Isabelle Morel » ont totalement disparu des résultats de recherche. Ils n’apparaissent plus du tout, ni sur la 2ème page ni sur une autre. Ce qui trahit cette demande c’est également cette mention en bas de la 1ère page de résultats lorsqu’on fait une recherche en tapant son nom :
Le 14 février 2019, lors de l’audience du procès en diffamation qu’elle a intenté contre la présidente de l’agence-web dont elle a refusé de payer la facture, son avocate a produit un décompte qui montre qu’elle a dépensé plus de 14000 € dans ces manœuvres judiciaires visant à instrumentaliser la justice pour ne pas payer la facture qu’elle devait (une facture d’un montant inférieur à 3000 €, pour 6 semaines de travail). Non seulement cette affaire lui aura coûté presque 5 fois plus cher mais que dire du temps considérable qu’elle y a perdu et qu’elle aurait pu consacrer à des choses bien plus productives ? Que dire de la charge mentale que ça représente et de l’impact sur sa réputation, définitivement entachée par la publication de faits qui démontrent sa malhonnêteté, son incompétence et sa bêtise ?
Cela prouve, entre autres choses, qu’elle n’a aucune vision stratégique.
Date de publication : le 17 juin 2015 – mise à jour le 18 avril 2019.