Isabelle MOREL
Pourquoi un site sur Isabelle MOREL ?
Pourquoi ce site existe-t-il ? Eh bien parce qu’après nous avoir fait travailler pendant environ 6 semaines sur son projet professionnel (création d’une marque, d’un site internet, de supports de communication, travail sur le discours), Isabelle MOREL a refusé de régler la facture correspondant à ce travail. Elle a préféré partir au ski avec la somme qu’elle nous devait. Malheureusement, après des mois d’attente et malgré une proposition de paiement en plusieurs fois, nous n’avons pas eu d’autre choix que d’aller au tribunal, où elle s’est alors présentée à notre grand étonnement comme une pauvre personne démunie et au chômage. Elle a prétendu ensuite exercer en portage salarial, bien que la Société Auxime, la société de portage concernée, nous ait affirmé ne pas être liée à cette personne par un contrat de portage salarial mais par un CAPE, ce qui est différent (CAPE : Contrat d’Appui au Projet d’Entreprise). Dans le même temps, Isabelle MOREL se déclarait comme « associée » au sein du Cabinet BAUD, un cabinet qui en impose si on se réfère aux 9 consultants en organisation qui étaient listés sur cette page de leur site internet et à ceux qui étaient listés ici mais en réalité, il n’en était rien : en conversant avec Monsieur BAUD, il a fini par nous avouer que son site avait été conçu pour faire croire aux internautes qu’il s’agissait d’un gros cabinet alors qu’il n’y avait en fait qu’un à trois salariés (dont lui-même, sans doute ?) et qu’il n’a pas rencontré la plupart des consultants qui sont listés sur son site… Isabelle Morel le savait et elle a accepté de participer à cette duperie. Depuis ces révélations, bien sûr, le cabinet Baud a fermé ses portes…
Ayant réalisé que nous avions affaire à une personne malhonnête, nous avons donc décidé de prévenir via ce site tous ceux qui pourraient être amenés à travailler avec Isabelle MOREL, afin qu’ils ne se fassent pas avoir, eux aussi.
Les langues se délient au sujet d’Isabelle MOREL !
Nous avons déjà reçu quelques témoignages de prestataires qui nous ont expliqué s’être fait avoir, eux aussi, bien qu’ils n’aient pas pris le temps de la traîner devant la justice. D’autres nous ont remercié car ils avaient failli se faire avoir avec le même schéma d’escroquerie : un accord verbal puis une cliente qui se dérobe lorsqu’on lui demande de signer le devis tout en affirmant verbalement que c’est OK et qu’ils peuvent démarrer le travail… D’anciens collègues de travail ou des personnes qui l’ont côtoyée nous ont également contacté pour nous expliquer leurs déboires avec Isabelle Morel. Nous ne citerons pas les témoignages les plus violents à son égard, mais ce qui est revenu le plus souvent lors de ces échanges ce sont « ses faux airs de gentillesse », « sa tendance à se présenter comme victime », « elle se croit au-dessus de tout le monde » et « elle se sert de tous les gens dont elle peut avoir l’utilité, elle ignore les autres ».
Qui est Isabelle Morel ?
Ingénieur Arts & Métiers, Isabelle Morel (qui s’appelait Jean-Christophe à la naissance) est auditeur QSE. Il a débuté sa carrière chez Peugeot en production et méthodes, et ce pendant 8 ans. Nous disons « il » puisqu’à l’époque il s’appelait Jean-Christophe Morel, c’était un homme marié à une femme à qui il avait fait 3 enfants. Puis, Jean-Christophe Morel rejoint l’entreprise dirigée par son père, en tant que directeur général et directeur industriel et commercial pour la Chine. Est-ce qu’on lui aurait confié ces responsabilités si son père n’avait pas dirigé l’entreprise ? Rien n’est moins sûr.
Jean-Christophe a donc profité du confort de l’entreprise de son papa pendant 17 ans, jusqu’à ce qu’il décide de devenir Isabelle Morel. Bien sûr, cela a eu des répercussions sur son travail et on peut le comprendre. Il était particulièrement perturbé et indisponible pendant toute cette période. Au bout d’un certain temps, l’entreprise l’a donc licencié. Premier acte de victimisation : devenu Isabelle, Jean-Christophe a fait un procès à l’entreprise en arguant que son licenciement était dû à son changement de sexe et non au fait qu’il ne fournissait plus du tout le travail qu’on attendait de lui. Devenu officiellement Isabelle entretemps, l’intéressée a remporté ce procès et touché au passage une petite cagnotte de 200 000 €. Depuis, lorsque les nombreux procès qu’elle subit ou qu’elle initie lui en laissent le temps, Isabelle Morel exerce comme consultante en gouvernance d’entreprise et comme enseignante.
Isabelle Morel, des procès à la pelle…
Outre le procès contre son ancienne entreprise où elle profitait de la chaleur du cocon familial depuis 17 ans, Isabelle Morel a voulu s’offrir le luxe de diffamer son père auprès d’une bonne quarantaine de proches et de relations professionnelles. Elle a été condamnée, comme le rapporte le Progrès :
Source : Le Progrès
Mais ce n’est pas tout, nous lui connaissons au moins 2 autres procès, et tout ça en l’espace de 4 ans. Un procès pour des factures qu’elle a refusé de payer et un procès contre la personne qui aurait réalisé ce site, qu’elle a perdu. Et rien ne dit qu’il n’y en a pas eu d’autres.
Isabelle MOREL tente tout et n’importe quoi pour faire disparaître la vérité à son sujet
Isabelle MOREL, mensonges et dissimulation… Non contente de se faire des ennemis un peu partout et de se servir des gens ou de les faire travailler sans les payer, Isabelle Morel a tout tenté pour supprimer ce site : procès pour diffamation (qu’elle a perdu), tentative d’escroquerie de la part de son avocate pour tenter de récupérer les noms de domaine isabelle-morel.fr et isabellemorel.fr, chantage, menaces, demande de suppression auprès de Google au titre du droit à l’oubli…
On peut voir qu’il y a eu une demande de suppression de sa part auprès de Google parce que le même jour, 2 pages web compromettantes qui s’affichaient en 1ère page Google lorsqu’on tapait son nom ont disparu des résultats de recherche uniquement pour son nom, pas en tapant d’autres mots-clés. La page que vous lisez en ce moment-même (et qui s’affichait alors sur isabelle-morel.com et non isabelle-morel.fr) et des articles du Progrès relatant ses déboires judiciaires. On peut également le voir grâce à cette mention en bas de la 1ère page de résultats lorsqu’on tape « Isabelle Morel » :
Date de publication : le 19 février 2014 – mise à jour le 17 avril 2019.